• PHILO & CIE

    Philo  Citations disparates

  • Socrate d'abord !

      ἕν οἶδα ὅτι οὐδὲν οἶδα

    "TOUT CE QUE SAIS C'EST QUE JE NE SAIS RIEN"" ( cité par Platon dans l' Apologie de Socrate)

     

     

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  •  

    Nietzsche

    "Sans la musique, la vie serait une erreur" (Götzen Dämmerung, Crépuscule des idoles)

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  • 'Le pardon est une relation positive et aimante avec l'Autre, car il ne ferme pas les yeux, lui ; il les ouvre, au contraire, tout grands sur la méchanceté et il regarde le méchant bien en face et il l'excuse, non pas bien qu'il soit méchant, mais parce qu'il est le méchant notre frère, c'est-à-dire par scandaleuse, absurde et gratuite charité.

     

    Le pardon*

    * Livre à rapprocher de celui de Pascal Ide, Est-il possible de pardonner?

     

    «Philosopher, c'est se comporter vis-à-vis de l'univers comme si rien n'allait de soi.»

     

    «C'est en plein tintamarre qu'il faut prêter l'oreille au chuchotement imperceptible de Dieu.» (Quelque part dans l'inachevé)

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  • ...par exemple, quand on a tout oublié !

    Mot-valise:

    "Voutoyer: s'adresser à quelqu'un en employant alternativement la deuxième personne du pluriel et celle du singulier. " Amants, voutoyez-vous ! Prolongez, au besoin par la ruse, cette période idéale qui corrige l'une par l'autre la politesse et l'intimité" Rilke."

     

    Alain Finkielkraut, Petit fictionnaire illustré ( Points Virgule)

    Définition du charme par Albert Camus:

    "C'est s'entendre dire oui sans avoir posé aucune question."

    Carnets (Gallimard) Cité de mémoire.

     

    Poème de Rainer Maria Rilke:

    Chant d'amour ( traduction de Lorand Gaspar - Seuil)

     

    "C'était le jour des chrysanthèmes blancs,

    et j'avais presque peur de sa splendeur pesante.

    Alors tu vins prendre mon coeur, tu vins à moi,

    en pleine nuit.

     

    J'avais très peur, mais tu vins, chère et tendre,

    dans mon rêve un instant j'avais pensé à toi.

    Tu vins, et doucement, comme un air de légende,

    tinta la nuit.

     

    Comment tenir mon âme, afin qu'elle ne frôle pas la tienne ?

    Comment l'enlever assez loin,

    par-dessus toi, vers d'autres choses ?

    Je voudrais l'abriter sous quelque objet perdu,

    en un recoin étranger et muet,

    où ton frémissement ne pourrait se répandre.

     

    Mais tout ce qui nous touche, toi et moi,

    nous réunit ainsi qu'un coup d'archet

    ne tire des deux cordes qu'une voix.

    Quel est cet instrument sur quoi l'on nous fit tendre ?

    Et quelle main nous tient, formant ce son ?

    O douce chanson."

     

    Socrate d'abord ! 

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